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Hasna et Bachir, deux acteurs de terrain à l’ALCS arpentent un squat fréquenté par des personnes usagères de drogues à Tétouan. Dans leurs sacs, ils transportent du matériel d’information sur les hépatites virales et le VIH, mais aussi du matériel stérile pour injection. Au Maroc, près de la moitié des personnes qui s’injectent des drogues vivent avec le VHC. A travers ses interventions de terrain, l’ALCS, association membre de Coalition PLUS, leur fournit des informations et outils de prévention adaptés à leurs besoins.

©Coalition PLUS / Seif Kousmate, Tétouan, Maroc, décembre 2020

Exposition

400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Ali et Said (à droite), acteurs de terrain à l’ALCS, discutent avec Hamid, un usager de drogue qu’ils ont déjà rencontré auparavant.

Grâce à ces visites informelles, les associations communautaires gardent le contact avec des personnes qui fréquentent rarement les centres de santé. Ces échanges sont aussi une occasion de faire passer des messages de prévention et de distribuer du matériel de réduction des risques liés à l’injection.

©Coalition PLUS / Seif Kousmate, M’diq, Maroc, décembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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A l’entrée de la médina de Tétouan, la camionnette de l’ALCS accueille les personnes les plus éloignées du soin. Celles-ci peuvent s’y rendre plusieurs fois par semaine pour prendre un café, manger un encas, discuter, mais aussi pour bénéficier d’un suivi médical.

©Coalition PLUS / Seif Kousmate, M’diq, Maroc, décembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Action de sensibilisation à l’hépatite C sur les rives de la Yamuna à DelhiSur les rives de la Yamuna, Harish et Sunita (à gauche), deux collaborateurs-rices de l’association DNP+, discutent avec des personnes usagères de drogues. A Delhi, 2 personnes qui s’injectent des drogues sur 3 vivent avec le VHC. Pour combattre l’épidémie, DNP+ mène des actions d’information et de prévention directement sur les lieux d’injection.

©Coalition PLUS / Nitin Rai, Delhi, Inde, décembre 2020

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Dans un quartier du vieux Delhi, des volontaires de DNP+ accompagnent plusieurs personnes à l’hôpital pour qu’elles puissent bénéficier d’une prise en charge du VIH et du VHC. Les actions d’information et de sensibilisation menées par l’association auprès des populations vulnérables incitent certaines personnes à se faire dépister et à aller plus loin dans le parcours de soin. Elles peuvent alors se présenter dans les bureaux de DNP+ afin de se faire accompagner à l’hôpital et être prises en charge, sans risque de discrimination.

©Coalition PLUS / Nitin Rai, Delhi, Inde, décembre 2020

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“A 53 ans, je suis le doyen et le plus expérimenté des usagers et usagères de drogues qui vivent dans les rues de Yamuna Bazaar [un quartier de Delhi, ndlr]. Cela fait 30 ans que je m’injecte des drogues, mais je fais tellement attention que je n’ai jamais été infecté, ni par le VIH ni par le VHC ! Pendant dix ans, j’ai aidé DNP+ à entrer en contact avec les personnes les plus marginalisées et les plus vulnérables. Aujourd’hui, je suis volontaire de l’association. J’accompagne mes pairs-es dans le suivi de leur traitement contre l’hépatite C et le VIH.”

©Coalition PLUS / Nitin Rai, Delhi, Inde, décembre 2020

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A Bogota, Kenny (à gauche), un agent communautaire de Red Somos, explique à une femme trans les risques d’infection au virus de l’hépatite C. Association membre de la Plateforme Amériques-Caraïbes de Coalition PLUS, Red Somos est associée à la campagne “Regálate un Minuto”. Développée par IFARMA, cette initiative nationale vise à informer et sensibiliser la population colombienne aux hépatites virales, ainsi qu’à mobiliser les populations les plus vulnérables. ©Coalition PLUS / Nicolás Corredor, Bogotá, Colombie, décembre 2020.

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

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A Bogota, Laura (à droite), une collaboratrice de Red Somos, donne à un passant des informations sur l’hépatite C. En plus de ses activités de sensibilisation aux infections sexuellement transmissibles (IST), au VIH et à l’hépatite C, Red Somos milite pour faire reconnaître la spécificité des interventions communautaires. En particulier, l’association demande des avancées concrètes pour que les organisations communautaires puissent effectivement pratiquer le dépistage du VIH, des hépatites virales B et C et de la syphilis, en dehors des laboratoires d’analyses médicales.

©Coalition PLUS / Nicolás Corredor, Bogota, Colombie, décembre 2020.

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Leidy and Laura, collaborateurs-rices de Red Somos, menaient une action d’information et sensibilisation à l’hépatite C auprès des passants-es lorsqu’ils ont été surpris par la pluie.

©Coalition PLUS / Nicolás Corredor, Bogota, Colombie, décembre 2020.

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Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

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Assistée d’une volontaire, Eyta (à droite) distribue un kit de prévention, incluant des préservatifs et une brochure d’information sur l’hépatite C, à des travailleuses du sexe dans le quartier de Chow Kit à Kuala Lumpur. Elle mène cette action dans le cadre d’un programme déployé par la Fédération malaisienne des associations de santé reproductive (Federation of Reproductive Health Associations of Malaysia, FRHAM) et le Malaysian AIDS Council (MAC), membre de Coalition PLUS.

©Coalition PLUS / Syaiful Redzuan Md Noor, Kuala Lumpur, Malaisie, janvier 2021

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Jega, coordonnateur du programme, Gaik, administratrice et Aziz Desa, agent de terrain auprès des personnes qui s’injectent des drogues forment l’équipe du projet TEMAN, créé par le Malaysian AIDS Council. TEMAN signifie « ami » ou « accompagner ». Mis en œuvre par le AIDS Action & Research Group (AARG), avec le soutien de Coalition PLUS, le projet TEMAN vise à promouvoir le dépistage et le traitement de l’hépatite C auprès des personnes détenues. L’équipe du projet mène des actions de sensibilisation à l’hépatite C, au VIH, aux addictions et autres affections liées, directement en prison. Elle travaille également avec l’administration pénitentiaire pour identifier les personnes à risque d’infection par le VHC et leur proposer un accompagnement adapté à leur sortie de prison. Ainsi, les pairs-es gardent le contact avec les anciens-nes détenus-es, afin de leur proposer une rencontre pour les amener à se faire dépister et traiter dans le centre de santé public le plus proche. Les risques de transmission de l’hépatite C, du VIH et d’autres maladies infectieuses, sont particulièrement élevés en prison. A cet égard, les politiques répressives à l’encontre des personnes usagères de drogues constituent un terreau fertile pour ces épidémies.

©Coalition PLUS / Syaiful Redzuan Md Noor, Penang, Malaisie, janvier 2021

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A Semenyih, à une trentaine de kilomètres de Kuala Lumpur, Rusli, pair-éducateur, explique à des usagers-ères de drogues actifs-ves les conséquences d’une hépatite C chronique non traitée. Il les encourage à se faire dépister et leur distribue des seringues propres, afin de réduire les risques de transmission du VHC liés à l’injection. Enfin, il leur partage des informations sur les programmes de prise en charge de l’hépatite C et du VIH et de substitution à la méthadone. Lui-même usager de drogues pendant 25 ans, Rusli est désormais guéri du VHC grâce aux traitements disponibles en Malaisie. Il mène cette action de sensibilisation et prévention dans le cadre d’un programme développé par Persatuan Insaf Murni Malaysia, une association locale membre de MAC, organisation membre de Coalition PLUS.

©Coalition PLUS / Syaiful Redzuan Md Noor, Semenyih, Malaisie, décembre 2021

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Une militante de CoNE fait signer un formulaire de consentement avant un dépistage de l’hépatite C dans un centre de santé communautaire d’Imphal, à une centaine de kilomètres de la Birmanie. Après le prélèvement, CoNE enverra les échantillons à un centre de diagnostic partenaire. Si le résultat est positif, l’association réfèrera le patient au programme national de traitement. Cette campagne de dépistage s’est déroulée au cours de la Semaine internationale du dépistage, initiée par Coalition PLUS en novembre 2020. Afin d’atteindre les personnes les plus éloignées des soins, en raison des discriminations comme de l’éloignement géographique, CoNE organise jusqu’à deux campagnes de dépistage par mois, couvrant tous les districts de l'État de Manipur. Les campagnes se déroulent généralement dans les locaux d’ONG partenaires et parfois dans des lieux publics, avec l’accord des autorités. En ciblant les populations les plus vulnérables à l’hépatite C, CoNE identifie un nombre important de patients-es, même avec une capacité de dépistage limitée.

©Coalition PLUS / Ronel Kongkham, Manipur, Inde, novembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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“J’ai commencé à consommer de la drogue en 2003. Depuis, j’ai fréquenté beaucoup de centres de réhabilitation. Pendant le confinement, à cause de la Covid-19, j’avais besoin d’aide avec ma consommation, mais aucun centre n’acceptait de nouvelles admissions. J’ai participé à une campagne de dépistage organisée par CoNE, qui m’a permis de faire gratuitement le test de dépistage du virus de l’hépatite C. Quand le résultat s’est avéré positif, j’étais très triste. Mais CoNE m’a accompagné pour que je puisse bénéficier d’un traitement gratuit, bien que je n’ai pas de carte d’identité. Aujourd’hui, je vis dans un centre de réhabilitation, en attendant de savoir si ma charge virale est indétectable. Je suis payé pour m’occuper de la pépinière et de la porcherie du centre. Ainsi, je peux soutenir matériellement ma famille. J’en suis très fier !”.

©Coalition PLUS / Ronel Kongkham, Manipur, Inde, novembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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“Je ne consomme plus de drogues depuis dix ans, mais j’avais l’habitude de partager mon matériel d’injection, même les seringues. En 2011, j’ai fait un test du VIH qui heureusement était négatif. Plus tard, en 2014, CoNE m’a proposé un dépistage gratuit du VHC, qui était réactif. J’étais déprimé, car je n’avais pas les moyens de faire les tests complémentaires, et encore moins d’accéder aux traitements. Il m’est arrivé de souhaiter reprendre de la drogue, puisque j’allais mourir de toute manière de complications au foie. Mais en 2017, grâce à l’accompagnement de CoNE, j’ai confirmé mon diagnostic et j’ai pu accéder à un traitement. Aujourd’hui, je suis capable de gérer mon entreprise de station de lavage sans aucun problème de santé majeur”.

©Coalition PLUS / Ronel Kongkham, Manipur, Inde, novembre 2020

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Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Un patient arrive dans un centre de santé public de São Paulo pour faire le test de l’hépatite C. La co-infection avec l’hépatite C est relativement fréquente chez les personnes vivant avec le VIH, notamment au sein des populations marginalisées. Afin de promouvoir le dépistage et le traitement du VHC, les organisations membres du Forum des ONG de lutte contre le sida de l’Etat de Sao Paulo (FOAESP) ont mené des actions de sensibilisation dans les centres de dépistage de la région métropolitaine de Sao Paulo. En plus de distribuer des brochures d’information, les agents-es communautaires ont organisé des rencontres avec les usagers-ères, ainsi que des ateliers. Les patients-tes ont apprécié ces initiatives. D’une part, l’accompagnement communautaire facilite la relation avec les professionnels-les de santé. D’autre part, le fait de se sentir acceptés-es et compris-es a pour effet de diminuer l’anxiété des patients-tes.

©Coalition PLUS / Ana Caroline de Lima, Sao Paulo, Brésil, décembre 2020

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Dans les locaux de DNP+ à Yamuna Bazaar, Denzil Basil, militant de l’association, distribue les traitements de l’hépatite C aux patients-tes. Derrière le comptoir, un acteur de terrain renseigne les usagers-ères sur la réduction des risques et l’adhérence aux traitements. Denzil Basil est le coordinateur du projet d’Accès au traitement de l’hépatite C, initié par Coalition PLUS avec le soutien d’Unitaid.

©Coalition PLUS / Nitin Rai, Delhi, Inde, décembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

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Dans les locaux de DNP+ à Yamuna Bazaar, Amar, militant de l’association, distribue des seringues stériles aux personnes qui s’injectent des drogues. Il leur prodigue également des conseils de réduction des risques.

©Coalition PLUS / Nitin Rai, Delhi, Inde, décembre 2020

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Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Deise Pires, médecin au centre de dépistage et de conseil pour le VIH et le VHC, effectue un test rapide. Les interventions des associations membres de FOAESP dans les centres de santé ont accru l’estime de soi des patients-es. Le nombre de personnes co-infectées par le VIH et le VHC dépistées et prises en charge a augmenté. Enfin, les actions de sensibilisation réalisées par les agents communautaires ont permis de renforcer le suivi de l’offre de dépistage et prise en charge dans les centres de santé.

©Coalition PLUS / Ana Caroline de Lima, Sao Paulo, Brésil, décembre 2020

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Deise Pires, médecin au centre de dépistage et de conseil pour le VIH et le VHC, prélève une goutte de sang d’un usager pour le dépistage rapide. Grâce à la présence de pairs-es éducateurs-rices, d’autres facteurs entravant l’accès au dépistage et au traitement, comme les ruptures de stock, le manque de personnel et la formation inadéquate des professionnels-les de santé, ont pu être identifiés. L’activité a également permis une meilleure coordination entre les programmes municipaux de lutte contre le VIH/sida et les IST d’une part, et contre les hépatites virales d’autre part.

©Coalition PLUS / Ana Caroline de Lima, Sao Paulo, Brésil, décembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Renny, étudiant originaire du Vénézuela, reçoit une boîte d’antirétroviraux contre le VIH. Dans le cadre du programme initié par Coalition PLUS et soutenu par Unitaid, ReColVIH réalise régulièrement des actions de prévention et sensibilisation au VIH et au VHC en direction des migrants-tes vénézuéliens-nes.

©Coalition PLUS / Nicolás Corredor, Bogota, Colombie, décembre 2020.

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Dans le cadre d’une campagne d’éducation à la sexualité et de prévention du VIH développée par l’association GAPOMARO, Laura reçoit un paquet de préservatifs.

©Coalition PLUS / Nicolás Corredor, Bogota, Colombie, décembre 2020.

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Lalroukungi vit avec le virus de l’hépatite C. Grâce à l’accompagnement de CoNE, elle a pu bénéficier d’un traitement. Aujourd’hui, elle travaille dans un centre de traitement des addictions. CoNE intervient ponctuellement au sein des centres de réhabilitation ou traitement des addictions, qu’il s’agisse de sensibiliser les usagers-ères ou de former les équipes. Pendant le confinement lié à la pandémie de COVID-19, ces centres n'acceptent plus les nouvelles inscriptions. CoNE a donc ouvert son propre centre afin de pouvoir accueillir les personnes usagères de drogues.

©Coalition PLUS / Ronel Kongkham, Manipur, Inde, novembre 2020

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Au cours d’une campagne de dépistage organisée par CoNE en collaboration avec le ministère de la Santé, un professionnel de santé effectue un prélèvement sanguin pour le dépistage du VHC. En cas de test positif, CoNE accompagne les patients-tes dans les centres de santé afin qu’ils et elles puissent accéder au traitement et bénéficier d’une prise en charge adéquate.

©Coalition PLUS / Ronel Kongkham, Manipur, Inde, novembre 2020

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Au centre de santé sexuelle et reproductive de l’ALCS à Marrakech, Youssef (à droite), coordonnateur du programme PrEP, dépiste Ahmed, utilisateur de ce traitement préventif contre le VIH, lors d’un rendez-vous de suivi. Tous les trois mois, Ahmed se rend au centre pour faire le suivi de la PrEP, se faire dépister pour l’hépatite C, le VIH et la syphilis, et pour recevoir son traitement. La PrEP (prophylaxie pré-exposition) est une combinaison d’antirétroviraux très efficace pour prévenir l’infection à VIH. Grâce aux efforts de recherche et de plaidoyer de l’ALCS, elle est disponible gratuitement au Maroc depuis 2017.

©Coalition PLUS / Seif Kousmate, Marrakech, Maroc, décembre 2020

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

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« J’ai essayé beaucoup de drogues. J’ai longtemps pensé que mon addiction me conduirait au cimetière, je ne pensais pas pouvoir arrêter la drogue un jour… L’ALCS m’a redonné espoir. D’abord usager des services de l’association, je me suis progressivement impliqué dans des actions de sensibilisation auprès d’autres usagers de drogues, ce qui m’a aidé à faire face à mon addiction. A l’ALCS, j’ai trouvé des valeurs que je ne rencontrais pas dans la société. Cela m’a permis de retrouver mon estime de moi et cela m’a redonné la force de vivre. »

©Coalition PLUS / Seif Kousmate, Tétouan, Maroc, décembre 2020

Exposition

400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Assisté d’un volontaire, Rusli, agent de santé communautaire, prépare le matériel nécessaire pour une future mission auprès des usagers de drogues. Dans le cadre de ses activités de dépistage, accompagnement et formation, Persatuan Insaf Murni accueille également les personnes directement dans ses locaux.

©Coalition PLUS / Syaiful Redzuan Md Noor, Semenyih, Malaisie, décembre 2021

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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« Je consomme des drogues depuis 1995. Ancien militaire, j’ai été licencié en raison de ma consommation, une discrimination que subissent encore de nombreux-ses usagers-ères de drogues en Malaisie. Diagnostiqué positif au VHC en 2005, j’ai été traité avec succès en 2020. Voici une photo d’“Atok”, décédée d’une fibrose hépatique due au VHC en 2017. En tant que personne vivant avec le VHC et le VIH, usagère de drogue, transgenre et travailleuse du sexe, Atok a aidé beaucoup de personnes, dont moi, en tant que paire-éducatrice et agente communautaire. Bien qu’elle ait pu me sauver en m’encourageant à me faire soigner, mon amie est décédée juste un an avant que les nouveaux traitements contre l’hépatite C ne soient disponibles ici. Depuis 2010, je mène des activités de sensibilisation et dirige des groupes de soutien pour les usagers-ères de drogues, les personnes vivant avec le VHC, les personnes transgenres, les travailleurs-euses du sexe et les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, qui recherchent des conseils et des traitements médicaux, par l’intermédiaire de Persatuan Cahaya Harapan, association membre du Malaysian AIDS Council à Kedah ».

©Coalition PLUS / Syaiful Redzuan Md Noor, Kedah, Malaisie, janvier 2021

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Bella, représentante du Malaysian AIDS Council, et Zack, militant de Persatuan Cahaya Harapan, animent une réunion d’un groupe de soutien pour la communauté transgenre de Sungai Petani, une ville côtière de Malaisie. Ils informent et sensibilisent les participants-es à l’hépatite C.

©Coalition PLUS / Syaiful Redzuan Md Noor, Kedah, Malaisie, janvier 2021

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Assistée d’une volontaire, Mak Wan, ancienne usagère de drogues, prépare le repas dans la cuisine communautaire de l’initiative « Warung Makan Sahabat » [“la cantine des amis”, ndlr]. La nourriture préparée sera ensuite distribuée à tous-tes celles et ceux qui en ont besoin, dans le quartier de Chow Kit à Kuala Lumpur.

©Coalition PLUS / Syaiful Redzuan Md Noor, Kuala Lumpur, Malaisie, décembre 2020

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« J’ai commencé à consommer de la drogue à 11 ans. J’ai été incarcérée à plusieurs reprises pour usage de drogues et j’ai passé dix ans dans un centre de réhabilitation. En 2016, j’ai été testée positive au virus de l’hépatite C. Heureusement, j’ai pu avoir accès au nouveau traitement. J’attends désormais les résultats de mon statut VHC. Pour soutenir ma communauté, j’ai lancé ma propre initiative, le « Warung Makan Sahabat », que je gère avec la Fondation AMAL, située à Kuala Lumpur. Depuis octobre 2020, je distribue des repas gratuits aux usagers-ères de drogues, aux mères célibataires, aux pauvres et aux sans-abris du quartier. Avec un budget de 8 Ringgits [1,60€, ndlr] par colis, j’arrive à nourrir 300 à 350 personnes chaque jour ».

©Coalition PLUS / Syaiful Redzuan Md Noor, Kuala Lumpur, Malaisie, décembre 2020

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A Bogota, Esteban, représentant de l’association GAPOMARO, anime une discussion sur les risques et la prévention de l'hépatite C avec des adolescents-tes. La plupart de leurs parents sont d’anciens combattants affiliés à des groupes illégaux ayant participé au conflit colombien et sont considérés comme une population à haut risque d’infection par le virus de l’hépatite C. GAPOMARO est associé à la campagne « Regálate un Minuto », développée par IFARMA dans le cadre du projet coordonné par Coalition PLUS avec le soutien d’Unitaid.

©Coalition PLUS / Nicolás Corredor, Bogota, Colombie, novembre 2020.

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

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Un groupe de femmes et de travailleuses du sexe écoute attentivement une discussion sur l’estime de soi et le respect mutuel lors d’un atelier organisé par l’association Cimientos de Luz. Cimientos de Luz est associé à la campagne « Regálate un Minuto », développée par IFARMA dans le cadre du projet coordonné par Coalition PLUS avec le soutien d’Unitaid.

©Coalition PLUS / Nicolás Corredor, Sincelejo, Colombie,novembre 2020.

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Rubiela, une travailleuse du sexe trans, plongée dans ses pensées lors d’un atelier de sensibilisation à l’hépatite C organisé par Cimientos de Luz.
Cimientos de Luz est associé à la campagne « Regálate un Minuto », développée par IFARMA dans le cadre du projet coordonné par Coalition PLUS avec le soutien d’Unitaid.

©Coalition PLUS / Nicolás Corredor, Bogota, Colombie, novembre 2020.

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Dans le cadre des groupes de soutien organisés par DNP+, des personnes usagères de drogues participent à une séance de thérapie par le rire au jardin public de Yamuna Bazaar à Delhi. Organisées deux fois par mois, ces réunions rassemblent en général une quarantaine de participants-tes. Elles permettent de sensibiliser les personnes les plus éloignées des soins, de répondre à leurs questions, de les encourager à se faire dépister et d’organiser les trajets vers les hôpitaux.

©Coalition PLUS / Nitin Rai, Delhi, Inde, décembre 2020

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Dans les locaux de DNP+ dans le quartier de Yamuna Bazaar, Denzil Basil, Coordonnateur de projet, assure l’animation d’un groupe de soutien. En fonction des besoins des participants, ces sessions peuvent durer entre 2 et 4 heures. Les participants-tes, qui partagent les mêmes enjeux de santé, se retrouvent pour discuter de leurs difficultés et se soutenir mutuellement. Une collation est distribuée en conclusion de chaque session. Ainsi, ces sessions collectives contribuent à renforcer l’adhésion thérapeutique.

©Coalition PLUS / Nitin Rai, Delhi, Inde, décembre 2020

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Géré par DNP+, ce centre héberge jusqu’à 7 personnes en même temps. Ici, les usagers peuvent avoir accès à tous les services de santé dont ils et elles ont besoin : médicaments, seringues stériles, méthadone… Pendant la pandémie de COVID-19, afin d’assurer la continuité de ses actions, le centre d’hébergement de DNP+ a bénéficié d’un financement via le fonds d’urgence de Coalition PLUS.

©Coalition PLUS / Nitin Rai, Delhi, Inde, décembre 2020

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En amont de la Semaine internationale du dépistage initiée par Coalition PLUS, l’équipe de CoNE affiche des messages de sensibilisation au dépistage du VIH, du VHC et des IST dans les locaux du Centre de traitement modèle (Model Treatment Center) de l’hépatite C, au sein de l’Institut des sciences médicales Jawaharlal Nehru d’Imphal. Inauguré en 2019 par le ministre de la Santé du Manipur, ce centre travaille en étroite collaboration avec CoNE, ce qui a permis d’optimiser son fonctionnement. L’association a notamment contribué à la formation de son personnel et à l’amélioration de la chaîne d’approvisionnement et de l’utilisation du matériel de dépistage. Enfin, CoNE réfère au centre les personnes dépistées positives au virus de l’hépatite C lors de ses missions de terrain.

©Coalition PLUS / Ronel Kongkham, Manipur, Inde, novembre 2020

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Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Au cours d’un atelier de sensibilisation dans un centre de traitement des addictions, un conseiller communautaire de CoNE explique l’infection au virus de l’hépatite C (VHC) et la co-infection avec le VIH. Il encourage les participants-es à se faire dépister et accompagne celles et ceux diagnostiqués-ées positifs-ves au VHC pour qu’ils et elles puissent être traités-es et pris-es en charge.

©Coalition PLUS / Ronel Kongkham, Manipur, Inde, novembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Younes, coordonnateur national du programme PrEP de l’ALCS, et deux militants font une pause dans les locaux de Marrakech.

©Coalition PLUS / Seif Kousmate, Tétouan, Maroc, décembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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« Je pratique le chemsex [usage de produits psychoactifs en contexte sexuel, ndlr] depuis plusieurs années. En 2013, je me suis rendu dans la clinique de l’ALCS pour la première fois. J’y ai immédiatement trouvé le soutien psychologique dont j’avais besoin. J’ai souvent eu des relations sexuelles non protégées. J'ai passé des semaines, la boule au ventre, avant de me faire dépister. En allant régulièrement à l’ALCS, j’ai acquis beaucoup de connaissances. Les formations dispensées m’ont aussi aidé à faire face à la stigmatisation et à me protéger des maladies. En quelque sorte, l’ALCS est devenue ma deuxième maison. J’y trouve des gens qui me soutiennent, sans me juger, et qui me permettent d’être moi-même ».

©Coalition PLUS / Seif Kousmate, Tétouan, Maroc, décembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

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« Je suis marginalisé en raison de mon orientation sexuelle, mais à l’ALCS, je me sens le bienvenu. J’y ai trouvé un espace où je peux m’exprimer, apprendre et connaître mes droits. Auparavant, je n’avais pas conscience des risques et j’avais des relations sexuelles non protégées. Depuis que je bénéficie des services de l’ALCS, je prends ma santé en charge. Je me protège, car j’ai conscience des infections sexuellement transmissibles. Aujourd’hui, c’est moi qui sensibilise les autres à ces questions ! » ©Coalition PLUS / Seif Kousmate, Tétouan, Maroc, décembre 2020

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« Je travaille auprès des personnes vivant avec le VIH et le VHC depuis plus de 30 ans. J’ai découvert que j’étais séropositif au virus de l’hépatite C en 2018, lors d’une consultation de routine. Ironiquement, je commençais tout juste à travailler sur le projet « Pour un Brésil sans hépatite », un partenariat entre Bem-me-quer, mon organisation, Coalition PLUS et deux autres associations brésiliennes, GIV et FOAESP. De nouveaux médicaments très efficaces venaient d’arriver sur le marché brésilien, mais à des prix exorbitants ! Sensibiliser les gens aux enjeux de la lutte contre l’hépatite C était donc pour moi d’une importance capitale. Je me suis plongé à corps perdu dans le projet. Nous avons fait pression sur l’industrie pharmaceutique pour qu’elle baisse le prix des traitements. Nous avons plaidé auprès du Congrès à Brasilia. Nous avons également demandé à l’office des brevets de refuser de breveter le sofosbuvir, un médicament contre l’hépatite C. Alors que je me battais pour que toutes et tous aient accès à ces traitements, ils m’étaient devenus indispensables pour garder une bonne qualité de vie. Il m’a fallu plus d’un an pour enfin accéder au traitement de l’hépatite C. En trois mois, j’étais guéri. Mon prochain grand défi est de sensibiliser les autorités sanitaires brésiliennes à la nécessité de traiter également les personnes qui se réinfectent ».

©Coalition PLUS / Ana Caroline de Lima, Sao Paulo, Brésil, décembre 2020

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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« Ma grand-mère est décédée de l’hépatite C. Alors, quand en 2014 j’ai moi-même été diagnostiquée, c’était traumatisant. À ce moment-là, l’hépatite C était traitée par l’interféron. J’allais à l’hôpital une fois par semaine pour le traitement, je me sentais très faible, je vomissais, j’avais des douleurs partout, je n’arrivais pas à manger. Après six ou sept mois, j’ai dû interrompre le traitement car, en plus d’être inefficace, il avait provoqué une anémie grave. J’ai perdu 22 kilos. Puis les antiviraux à action directe (AAD) sont arrivés. Je pouvais prendre les pilules à la maison, choisir l’heure, il n’y avait pas d’effets secondaires, pas de signes visibles - ce qui était le pire avec l’interféron. Je pouvais travailler, tout faire comme d’habitude et personne ne remarquait que j’étais sous traitement. Aujourd’hui, je vais bien. Je fais un suivi de routine, ce qui est très simple. C'est un appareil appelé élastographie, ils utilisent l’imagerie médicale. Par le passé, on devait faire une biopsie, qui était invasive et nécessitait une hospitalisation. Donc, je suis très reconnaissant pour le traitement, je suis guéri ». ©Coalition PLUS / Ana Caroline de Lima, Sao Paulo, Brésil, décembre 2020

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Le plaidoyer auprès des décideurs institutionnels fait partie des activités principales de FOAESP. La présence constante de l’organisation dans la capitale fédérale Brasilia a permis de nombreuses avancées. Ainsi, le budget fédéral inclut désormais des financements dédiés à la riposte aux hépatites virales. Par ailleurs, le système d’approvisionnement et de distribution des traitements a été amélioré sur l’ensemble du territoire national.

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Le député brésilien Alexandre Padilha délivre un discours dans une salle de Commission au Congrès national brésilien, sous l’œil attentif de Rodrigo Pinheiro, président de Forum des ONG de lutte contre le VIH/sida de Sao Paulo (FOAESP). FOAESP a su rassembler les députés et les sénateurs autour d’un agenda commun de lutte contre les hépatites virales, au sein d’un groupe parlementaire sur le VIH, le VHC et les infections sexuellement transmissibles. Alexandre Padilha est actuellement responsable de la coordination de ce groupe.

©Coalition PLUS / Ana Caroline de Lima, Brasilia, Brésil, décembre 2020

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Rodrigo Pinheiro (à droite), président de Forum des ONG de lutte contre le VIH/sida de Sao Paulo (FOAESP) échange avec Alexandre Padilha (à gauche), membre de la Chambre des députés, dans la salle plénière du Congrès national brésilien. Depuis 2019, le gouvernement a instauré le “mois des hépatites virales”, en juillet. Cependant, dans le système fédéral brésilien, États et municipalités partagent avec le gouvernement central les compétences en matière de santé, incluant le financement et la mise en œuvre de campagnes de sensibilisation et prévention. FOAESP a donc proposé, à travers le groupe parlementaire coordonné par Alexandre Padilha, un amendement pour rendre cette initiative gouvernementale davantage prescriptive.

©Coalition PLUS / Ana Caroline de Lima, Brasilia, Brésil, décembre 2020

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

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Président de FOAESP, Rodrigo Pinheiro milite depuis une quinzaine d’années auprès des personnes vivant avec le VIH. « Je suis une personne très déterminée, je me fixe des objectifs ambitieux et j’essaye de les atteindre. Je suis activiste parce que je crois en une meilleure qualité de vie pour les personnes vivant avec le VIH. Je m’engage également pour le respect des droits humains, de façon à permettre l'accès au traitement pour toutes les personnes vivant avec l'hépatite C. »

©Coalition PLUS / Ana Caroline de Lima, Brasilia, Brésil, décembre 2020

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Des représentants-tes de 5 ONG, dont le Malaysian AIDS Council (MAC), membre de Coalition PLUS, et MTAAG+ se retrouvent pour discuter et planifier les actions de plaidoyer sur l’hépatite C. En septembre 2017, les efforts de plaidoyer conjoints de TWN, MAC, MTAAG+ et leurs partenaires, ont permis d’aboutir à une décision historique. Contournant les brevets détenus par le laboratoire Gilead, l’Etat malaisien a en effet émis une licence obligatoire, afin d’autoriser l’importation de traitements génériques contre l’hépatite C.

©Coalition PLUS / Syaiful Redzuan Md Noor, Kuala Lumpur, Malaisie, décembre 2020

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« J’ai commencé à m’injecter de la drogue à 16 ans. En 2003, j’ai été diagnostiquée séropositive au VIH et en 2017, j’ai rejoint un programme de traitement. Après avoir été incarcérée à plusieurs reprises, j’ai décidé d'arrêter de prendre de la drogue en 2010. Aujourd’hui, je me définis comme une activiste pour les communautés d’usagers-ères de drogues et de travailleuses du sexe. Je m’engage en particulier pour la santé, les droits sexuels et reproductifs et la dépénalisation. Mon souhait de fonder une famille est l’une des principales raisons de mon engagement. En 2017, j’ai été testée positive au virus de l’hépatite C, mais j’ai été traitée en 2019 et je suis désormais guérie. Aujourd’hui, je travaille en tant que conseillère communautaire et paire-éducatrice. Je fournis à ma communauté des informations sur le VIH, l’hépatite C et les infections sexuellement transmissibles. J’encourage aussi mes pairs-es à effectuer des contrôles de santé réguliers dans les cliniques les plus proches ».

©Coalition PLUS / Syaiful Redzuan Md Noor, Kuala Lumpur, Malaisie, janvier 2021

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Le président de CoNE anime une formation à destination des professionnels-les de santé dans un hôtel d’Imphal. Pour élargir l’accès à la prise en charge de l’hépatite C au Manipur, CoNE a élaboré un programme de formation, qui a ensuite été déployé en collaboration avec le gouvernement. Au total, CoNE a animé une cinquantaine d'ateliers de formation à destination des personnels de santé dans le secteur public et les ONG, mais aussi pour les coordinateurs de projets au sein des ONG intervenant dans le domaine du VIH.

©Coalition PLUS / Ronel Kongkham, Manipur, Inde, novembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Lors d’une conférence de presse, le Président de CoNE échange avec un représentant de l’industrie pharmaceutique et une représentante du programme national de traitement. Afin de promouvoir le dépistage de l’hépatite C, CoNE a organisé cet événement dans le cadre de la Semaine internationale du dépistage, initiée par Coalition PLUS. A travers ses actions de dépistage et de plaidoyer, CoNE contribue efficacement à l’amélioration de la collecte de données, ainsi qu’à la mise en œuvre du programme national de traitement.

©Coalition PLUS / Ronel Kongkham, Manipur, Inde, novembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Ricardo, infirmier et porte-parole de Ligasida, donne une formation sur le VIH et l’hépatite C à un groupe d’infirmiers-ères et de médecins dans les locaux de Ligasida, à Bogota. La connaissance des protocoles cliniques sur l’hépatite C chez les professionnels-les de santé est encore insuffisante en Colombie. Les services de santé ont du mal à répondre aux besoins des communautés les plus vulnérables, en particulier les migrants-es, les personnes sans-domicile fixe et les usagers-ères de drogues. Ces personnes ont souvent une couverture sanitaire limitée, voire inexistante et n’ont, le plus souvent, pas accès aux traitements. Les organisations communautaires contestent l’inaction des autorités sanitaires colombiennes en organisant régulièrement des sessions de formation pour les professionnels-les de santé et les structures sanitaires. LigaSida est associée à la campagne «Regálate un Minuto », développée par IFARMA dans le cadre du projet coordonné par Coalition PLUS avec le soutien d’Unitaid.

©Coalition PLUS / Nicolás Corredor, Bogota, Colombie, décembre 2020.

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Avec d’autres femmes transgenres, femmes en transition et travailleuses du sexe, Katerine participe à un atelier sur la prévention du virus de l’hépatite C et du VIH. En tant que militante, elle œuvre pour l’empowerment de la communauté des personnes trans, afin de lutter contre la stigmatisation et la discrimination, et surmonter les obstacles qui entravent l’accès au diagnostic et au traitement. L’atelier est organisé par Cimientos de Luz, l’une des organisations associées à campagne « Regálate un Minuto », la campagne nationale sur l’hépatite C développée par la IFARMA en collaboration avec 20 organisations communautaires régionales.

©Coalition PLUS / Nicolás Corredor, Sincelejo, Colombie, décembre 2020.

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Avec d’autres femmes transgenres, femmes en transition et travailleuses du sexe, Karine participe à un atelier sur prévention du virus de l’hépatite C et du VIH. L’atelier est organisé par Cimientos de Luz, l’une des organisations associées à « Regálate un Minuto », la campagne nationale sur l’hépatite C développée par la IFARMA en collaboration avec 20 organisations communautaires régionales.

©Coalition PLUS / Nicolás Corredor, Sincelejo, Colombie, décembre 2020.

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Salaheddine Benarrab, Coordonnateur du centre Albori de santé sexuelle à Marrakech, vérifie un test du VHC. Les efforts de plaidoyer et de sensibilisation de l’ALCS en faveur de l’accès au dépistage et aux diagnostics ont contribué à un plus large déploiement du dépistage de l’hépatite C au Maroc.

©Coalition PLUS / Seif Kousmate, Marrakech, Maroc, décembre 2020

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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« Avant d’être actrice de terrain à l’ALCS, j’étais usagère des services de l’association. Après mon divorce à 28 ans, j’ai été rejetée par ma famille alors que j’étais enceinte. Je n’ai trouvé de refuge qu’auprès d’amis-es usagers-ères de drogues, qui vivaient en marge de la société. En 2011, j’ai collaboré pour la première fois avec l’ALCS lors de la réalisation d’une étude importante sur les personnes usagères de drogues à Tétouan. Mon rôle était d’agir en tant qu’intermédiaire entre l’association et les usagers-ères, pour les convaincre de témoigner et de se faire dépister. Depuis, j’ai suivi plusieurs formations et je suis en première ligne pour sensibiliser la communauté à Tétouan. J’ai participé à plusieurs conférences et tables rondes pour raconter mon histoire. Pour moi, l’ALCS est une école qui m’a appris des choses que je n’aurais jamais apprises ailleurs ».

©Coalition PLUS / Seif Kousmate, Tétouan, Maroc, décembre 2020

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Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Un militant de DNP+ anime un atelier d’information sur l’hépatite C à Delhi devant 45 participants représentant une vingtaine d’ONG. Afin de renforcer les capacités des organisations communautaires locales et de maintenir un même niveau de qualité des soins à travers le pays, DNP+ a organisé 8 événements de ce type. Ces ateliers représentent également des opportunités de plaidoyer auprès des décideurs, qui y sont souvent présents.

©Coalition PLUS / Nitin Rai, Delhi, Inde, décembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

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« Nous venons tous trois du Népal et nous vivons à Delhi depuis sept ans. Nous vivons avec le VIH et le VHC. Comme nous sommes sans domicile fixe, nous avons décidé de nous serrer les coudes et de nous installer à Yamuna Bazaar, où nous pouvons bénéficier de l’appui de DNP+. Lorsque les services sont disponibles, nous bénéficions de la distribution de matériel d’injection que nous ne pouvons pas nous offrir avec nos salaires journaliers. DNP+ nous a accompagnés de nombreuses fois à l’hôpital. Grâce à ces services de proximité, nous avons réussi à effectuer tous les tests diagnostiques et à accéder au traitement de l’hépatite C. Aujourd’hui, DNP+ garde nos traitements contre le VHC pour en assurer la sécurité et nous donne chaque jour notre traitement ».

©Coalition PLUS / Nitin Rai, Delhi, Inde, décembre 2020

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Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

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« Je vis dans la rue depuis quinze ans. Je suis un usager de drogues et je m’injecte de l’héroïne depuis dix ans. J’essaie de rester près des bureaux de DNP+ pour bénéficier des distributions de matériel d’injection, quand il y en a, mais aussi pour demander des conseils sur mes habitudes d’injection et sur la réduction des risques. Grâce aux réunions organisées par DNP+, j’ai compris les enjeux liés aux infections dangereuses pour les usagers-ères de drogues. C’est aussi comme cela que j’ai pu accéder au dépistage du VIH et de l’hépatite C, et ainsi connaître mon statut sérologique ».

©Coalition PLUS / Nitin Rai, Delhi, Inde, décembre 2020

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400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

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Destination Élimination : une exposition sur le combat communautaire contre l'hépatite C

400 000 vies perdues. C’est le lourd tribut que l’humanité paie chaque année à l’hépatite C.

Silencieuse, cette infection du foie se nourrit de la stigmatisation et frappe d’abord les exclus-ues. Transmissible par le sang, l’hépatite C affecte de manière disproportionnée les personnes usagères de drogues par injection. Souvent stigmatisées, parfois criminalisées, ces personnes représentent selon l’OMS 23 % des nouvelles infections et 33 % des décès liés au virus de l’hépatite C (VHC). La découverte récente de traitements efficaces, les antiviraux à action directe, change la donne. Il est désormais possible d’éliminer l’hépatite C.

Mais pour atteindre cet objectif, l’accès aux traitements doit devenir une réalité partout. Sans discriminations. L’information, la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être à la portée de toutes et tous. Même des plus marginalisés-ées. Pour que personne ne soit oublié, des militants-es, issus-ues des communautés affectées, infectées et vulnérables à l’hépatite C, se mobilisent pour mettre fin à l’épidémie.

Tirant les leçons de la lutte contre le VIH/sida, qu’ils et elles mènent depuis des décennies, ces militants et militantes savent bien que la disponibilité des médicaments n’est que la première phase vers l’éradication d’un virus. Depuis 2015, à l’initiative de Coalition PLUS et avec le soutien d’Unitaid, ils et elles construisent la riposte avec méthode et détermination. Du Brésil à la Malaisie, en passant par la Colombie, le Maroc et l’Inde, Sur le terrain, dans les centres de santé communautaires, au sein des associations ou des instances de pouvoir, Cette exposition photographique présente les étapes nécessaires d’un itinéraire intime et politique, vers l’élimination de l’hépatite C.

Les photographes

Ana Caroline de Lima (Brésil)

Ana Caroline de Lima est une photographe, journaliste et anthropologue brésilienne dont le travail se concentre sur la documentation des questions culturelles, sociales et environnementales dans une perspective intime. Ana pense que l'empathie, la photographie, le journalisme et l'anthropologie doivent marcher ensemble, car seuls la compréhension et le respect peuvent produire une documentation sensible. Son travail a été récompensé aux niveaux national et international et a été exposé au NUMA, au Getty Museum et à l'Oxo Tower. Elle est membre de Diversify Photo, Authority Collective et Women Photograph. Son dernier projet, financé par la National Geographic Society, porte sur l’impact de la Covid-19 sur les Brésiliens-nes qui dépendent du système de santé public.

Nicolás Corredor (Colombie)

Nicolas est né et a grandi à Bogota, en Colombie. Son intérêt pour les images apparaît depuis son plus jeune âge. Après ses études secondaires, il part à Madrid, en Espagne, pour étudier à l'école internationale de photographie, l’EFTI. De retour en Colombie, il obtient un diplôme en publicité à l'université JTL. Après plusieurs années de travail dans l'industrie de la publicité, il se lance finalement dans une carrière de photographe professionnel. Il a travaillé dans la mode, la publicité, le documentaire, le portrait et la photographie de films. Il a vécu au Danemark, en Espagne, en France et en Argentine. Ces influences diverses nourrissent son travail. Ses clients varient entre entreprises de mode et de beauté, plateformes de streaming et ONG.

Nitin Rai (Inde – Delhi)

Avec une carrière s’étendant sur trois décennies, Nitin Rai a pratiqué la photographie de paysage, le documentaire, le photo-journalisme, le portrait, la photographie de mode, d’intérieur, de fooding, l’immobilier et la photographie industrielle. Son travail a été présenté dans d'éminents magazines internationaux tels que TIME Magazine, Der Spiegel, Stern, Le Figaro, Facts, Tattler, The Sunday Telegraph et The Independent. Il a reçu le prix Nikon International en 1993. Actuellement, il combine son activité d’enseignement en tant que directeur du Raghu Rai Center for Photography avec des missions professionnelles pour une variété de clients, allant des entreprises aux maisons d'édition.

Ronel Kongkham (Inde – Manipur)

Ronel Kongkham s/o Kongkham Robindro Singh a 23 ans et est basé à Manipur, dans le nord-est de l'Inde. Il est sous thérapie antirétrovirale depuis 2005. Ronel a terminé son diplôme en arts et est titulaire d’un diplôme en photographie de l'école de Fototechnik, New Delhi, Inde. Ronel a sept ans d'expérience en tant que photographe indépendant et cinq ans d'expérience en tant que photographe professionnel.

Syaiful Redzuan Md Noor (Malaisie)

Basée à Kuala Lumpur en Malaisie, Syaiful est un photographe autodidacte dont les principaux intérêts sont le portrait et la photographie documentaire. Avec des expériences antérieures dans l'industrie de la musique et du divertissement, Syaiful travaille comme photographe professionnel depuis 2006. Sa carrière dans ce domaine commence avec la photographie de mode et de mariage, puis il se familiarise avec le photojournalisme et la photographie de rue. Son profond intérêt pour les questions liées au « comportement humain » a changé sa façon de penser et son approche de la narration. Il se définit comme un « photographe minimaliste ». Outre ses autres missions, Syaiful travaille actuellement en tant que photojournaliste pour l'agence de presse turque Anadolu.

Seif Kousmate (Maroc)

Né et basé au Maroc, Seif est un photographe autodidacte spécialisé dans les questions sociales avec un vocabulaire visuel qui se situe entre le documentaire et la photographie d'art. Après une carrière dans le génie civil, il décide en 2016 de se consacrer à la photographie professionnelle. Son travail explore le thème de la marginalisation. L'immigration subsaharienne à la frontière entre l'Afrique et l'Europe, l’esclavage traditionnel en Mauritanie, la jeunesse rwandaise ont été ses plus importants sujets ces dernières années. Explorateur au National Geographic depuis 2018, il a été sélectionné par les programmes Talent Global 6x6 (World Press Photo) et Arab Documentary Photography Program. Son travail a été exposé internationalement et présenté, entre autres, dans The New York Times, M le Monde, Newsweek, Libération, The Guardian, El País, NZZ. Seif est le cofondateur de KOZ collective.

Le compositeur

CĂ©dric Kayem

Cedric Kayem est un compositeur de musique et monteur son qui travaille au Liban et à l'étranger depuis 10 ans. Diplômé en audiovisuel de l'Université Saint Joseph de Beyrouth, il s'est spécialisé dans le son à l'institut SAE d'Amman. Il a travaillé en tant que preneur de son, monteur son et compositeur sur de nombreux longs métrages, courts métrages et documentaires, dont beaucoup ont été reconnus et récompensés dans des festivals nationaux et internationaux.